D’après l’ordre national des médecins, 40 % des Français font appel à la médecine douce. Il s’agit d’une forme non conventionnelle de soulager ou de venir à bout certains troubles. L’OMS la définit, en tant que pratiques modernes ou ancestrales qui se basent sur des thérapies biologiques, manuelles ou corps-esprit. La médecine douce peut donc prendre plusieurs aspects à découvrir dans ce guide.
La prise des compléments alimentaires
Les compléments alimentaires sont définis en tant que denrées. Ils sont destinés à suppléer l’alimentation, ou à aider à la perte ou à la prise de poids. Ils sont généralement disponibles sous forme de gélules qui sont en vente libre dans les pharmacies ou dans les sites spécialisés. Mais, jusqu’à maintenant, les compléments minceurs naturels sont les plus vendus.
Ces denrées alimentaires sont fabriquées à partir de produits naturels, comme :
- Les plantes
- Les légumes et fruits
- Les extraits de plantes
- Etc.
Toutefois, malgré leur composition naturelle, ils présentent néanmoins quelques risques pour la santé. Les dangers des compléments minceur font d’ailleurs l’objet d’études scientifiques. D’après les observations, certains composés peuvent causer des désagréments plus ou moins graves. C’est le cas de la caféine qui peut entrainer de troubles de sommeil, d’hypertension artérielle…, si son taux est supérieur à 200 mg par jour.
L’usage des plantes
À part la prise des compléments alimentaires, les Français misent pour les autres formes d’utilisation des plantes. Certains s’orientent par exemple pour les huiles essentielles qui sont dotées de nombreuses vertus. C’est le cas de l’huile essentielle de lavande qui est très appréciée grâce à ses propriétés régénérantes et cicatrisantes. Elle constitue un soin naturel de référence en cas d’acné, de bouton, de plaie…
À côté de l’aromathérapie, il existe également d’autres formes d’administration des plantes : la phytothérapie. Ici, on fait bouillir les feuilles, les racines ou les écorces pendant quelques minutes pour soulager les tracas quotidiens (migraine, mal de dents…) et les troubles plus ou moins graves (diabète, problème hépatique…).
Dans tous les cas, quelle que soit la forme d’administration choisie, consultez toujours l’aide d’un médecin ou d’un thérapeute. L’automédication est interdite, surtout chez les personnes souffrant de maladies chroniques et graves (asthme, épilepsie, antécédents de convulsion…), chez les enfants et chez les femmes enceintes et allaitantes.
Les autres pratiques de la médecine douce
Si les plantes sont les plus connues, sachez que la médecine douce comprend également d’autres pratiques, comme :
- Les thérapies manuelles incluant par exemple la réflexologie, la kinothérapie, le massage, la chiropraxie…
- Les thérapies corps-esprit, comme l’hypnose, la sophrologie, la méditation, PNL, etc.
- Les pratiques plus complètes, telles que l’homéopathie, la naturopathie ou encore l’acupuncture…
Bien évidemment, chaque thérapie possède ses propres règles bien qu’elle appartient à la même famille (médecine douce). Dans ce cas, avant d’y procéder, renseignez-vous sur les précautions d’usage et les contre-indications.
Certes, les pratiques naturelles sont bénéfiques pour la santé, mais elles présentent des risques chez certaines personnes. Prenons l’exemple de certaines formes de massages qui sont interdites chez les femmes enceintes, alors qu’elles sont indiquées chez les personnes souffrant de stress, de fatigue, ou encore d’insomnie.
Rédactrice catégorie sexualité et bien être. A votre écoute dans une démarche de respect et de confiance en soi 🙂